... J'avais quitté l'école depuis des années quand je me suis mis à comprendre, que leurs silences devenaient des mensonges. Aucun parent, aucun professeur ne m'avait parlé de ce qui pouvait m'attendre, de ces règles difficiles à comprendre lorsque que vous êtes assis dans un couloir de métro, dans une ruelle dégueulasse ou dans un lit d'hôpital. Je ne me souvenais pas avoir partagé une mise en garde cohérente avec un adulte au sujet de la détresse, du suicide et des chemins qui y mènent. Et pas un mot non plus, sur cette joie surfaite qu'on sulfate sur le monde...